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miércoles, 7 de diciembre de 2011

La fin est arrivée...


On se retourne vers Dieu quand ça tourne mal.
quand le ciel s’écroule sur nos petites étoiles.
On se sent si seul quand le train déraille,

de la pluie dans mes yeux quand l’espoir détale.
quand je vois maman perdre ses pédales.
On s’en remet à Dieu sur son lit d’hôpital.

Je perds l’équilibre sur mon triste manège.

Sous le soleil d’été, je voie tomber la neige.
On ne se moque plus de Dieu quand les peines nous assiégent.

Refrain

Il y a des jours comme ça où rien ne va
enfermé dans ton mal-être.
Quand les anges pleurent au bord de ta fenêtre.
Il y a des jours comme ça où rien ne va,
à s'en torturer la tête
.Si l’espoir meurt, pourra-t-il renaître ?
Regarde-moi brûler, quand s’éteint la lumière
Ecoute-moi crier aux portes de l’enfer.
Regarde-moi tomber sans plus personne derrière.

Redevenir poussière...

On s’en remet à Dieu quand la roue a tourné
.Les amis t’oublient comme une chanson d’été.
L’amour lui aussi, s’endort sur ses regrets.
On se retourne vers Dieu quand on descend l’échelle.
Car l’argent c’est bien mais, ce n’est pas éternel.
On ne fera pas long feu, si on ne vole qu’avec une aile.

Refrain

C’est la lumière ou le noir.
L’amour ou la gloire.
La défaite, la victoire.
Soit tu gagnes, soit tu foires.
On veut juste s’évader.
S’enfuir de nos cauchemars.
Je veux pas rater ma vie, rater mon train
Toucher l’infini comme si je mourrais demain
Je veux pas que tu m’oublies quand tu as des chagrins


En attendant la fin...




Recurrimos a Dios, cuando algo va mal.
Cuando el cielo cae sobre nuestras pequeñas estrellas.
No sentimos muy solos, cuando el tren descarrila,
de la lluvia de mis ojos en el instante que la esperanza huye,
cuando veo a mamá hacerse mayor...
Nos remitimos a Dios sobre su camilla.




Pierdo el equilibrio sobre mi triste maniobra,
bajo el sol de verano, veo la nieve caer.
No nos burlamos de Dios cuando las penas nos cierran.

Estribillo
Hay días como estos cuando nada va, encerrado en tu malestar.
Cuando los ángeles lloran al borde de tu ventana.
Hay días como estos cuando nada va, torturándote la cabeza.
Si la esperanza muere, ¿podrá renacer?
Mírame arder cuando las luces se apaguen.
Escúchame gritar a las puertas del infierno.
Mira como caigo sin nadie que me sujete.
Morir...


Nos remitimos a Dios cuando nos vamos recuperando del bache.
Los amigos te olvidan como a una canción del verano.
El amor también se duerme sobre su pesar.
Volvemos a Dios cuando se bajan las escaleras.
Porque el dinero está bien... pero no es eterno.


No iremos muy lejos, si solo volamos con un ala.

Estribillo

Es la luz o la oscuridad.
El amor o la gloria.
La victoria o la derrota.
Sea que gane o pase.
Solo queremos evadirnos, huir de nuestras pesadillas.
No voy a perder mi vida, mi tren.
Tocar lo interminable, como si muriera mañana.
NO QUIERO QUE ME OLVIDES CUANDO TENGAS PENA.

ESPERANDO EL FINAL.


Je n'ai jamais voulu t'oublier.

Elliot Vega.

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